Lundi 24 septembre, à la réunion de haut niveau sur l’État de Droit de la 67e session de l’Assemblée Générale des Nations Unies à New-York, le Premier Ministre, Laurent Lamothe, a insisté sur le rôle que les citoyens sont appelés à jouer dans un État de Droit, rappelant que « l’éducation et l’État de Droit, sont indissociables pour la démocratie
haïtienne comme mécanisme pour le développement [...] ces deux
concepts, constituent les deux piliers du programme du Président de la République, S.E.M. Michel Joseph Martelly, et de la nouvelle équipe gouvernementale [...]
Depuis l’ascension de Son Excellence Michel Joseph Martelly à la magistrature suprême de l’État, il s’est attelé à construire de manière irréversible, un État de Droit en Haïti. En effet, après l’adoption de la loi du 13 novembre 2007 portant organisation du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire, celle du 15 novembre 2007 portant organisation de l’École de la magistrature et celle du 27 novembre 2007 portant statut de la magistrature ; il a fallu attendre l’arrivée du Président Martelly, au timon des affaires de l’État, pour que ces textes de loi puissent être appliqués en vue d’organiser et de garantir, l’indépendance du pouvoir judiciaire. »
Pour le Premier Ministre, les droits économiques et sociaux constituent la principale source de préoccupations du Président de la République et du Gouvernement. « Conscients de la situation dans laquelle se trouve plus de la moitié de la population, le Président Martelly et l’équipe gouvernementale adoptent tout un train de mesures en vue de soulager la souffrance des couches les plus vulnérables de la population. Ainsi, plusieurs programmes sociaux exécutés par le ministère de l’Intérieur et des Collectivités territoriales, des Affaires sociales et du Travail et du Commerce et de l’Industrie sont regroupés sous le Label « Aba Grangou ».
Laurent Lamothe a rappelé les accomplissements suivants « la Cour de Cassation qui était amputée de son Président et de plusieurs Juges depuis plus de cinq ans est devenue fonctionnelle [...] le Conseil Supérieur du Pouvoir judiciaire, instance de contrôle et de gestion de l’appareil judiciaire a été installé » De plus, il a souligné que le Président de la République et l’équipe gouvernementale s’interdisent de s’immiscer dans le fonctionnement de l’institution judiciaire.
Le Chef du Gouvernement, a rappelé devant les représentants des États-membres, que la nouvelle administration haïtienne, offrait un cadre adéquat et des moyens financiers, qui répondaient aux besoins du système judiciaire. Précisant que pour la nouvelle équipe dirigeante d’Haïti, « le juge est la clef de voute et la condition de réalisation de l’État de Droit, il lui incombe de garantir le respect du Droit, tant par les citoyens que par les organes de l’État » soulignant, que le gouvernement travaillait sans relâche, pour que les juges soient à l’abri des pressions économiques et politiques.
HL/ HaïtiLibre
Depuis l’ascension de Son Excellence Michel Joseph Martelly à la magistrature suprême de l’État, il s’est attelé à construire de manière irréversible, un État de Droit en Haïti. En effet, après l’adoption de la loi du 13 novembre 2007 portant organisation du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire, celle du 15 novembre 2007 portant organisation de l’École de la magistrature et celle du 27 novembre 2007 portant statut de la magistrature ; il a fallu attendre l’arrivée du Président Martelly, au timon des affaires de l’État, pour que ces textes de loi puissent être appliqués en vue d’organiser et de garantir, l’indépendance du pouvoir judiciaire. »
Pour le Premier Ministre, les droits économiques et sociaux constituent la principale source de préoccupations du Président de la République et du Gouvernement. « Conscients de la situation dans laquelle se trouve plus de la moitié de la population, le Président Martelly et l’équipe gouvernementale adoptent tout un train de mesures en vue de soulager la souffrance des couches les plus vulnérables de la population. Ainsi, plusieurs programmes sociaux exécutés par le ministère de l’Intérieur et des Collectivités territoriales, des Affaires sociales et du Travail et du Commerce et de l’Industrie sont regroupés sous le Label « Aba Grangou ».
Laurent Lamothe a rappelé les accomplissements suivants « la Cour de Cassation qui était amputée de son Président et de plusieurs Juges depuis plus de cinq ans est devenue fonctionnelle [...] le Conseil Supérieur du Pouvoir judiciaire, instance de contrôle et de gestion de l’appareil judiciaire a été installé » De plus, il a souligné que le Président de la République et l’équipe gouvernementale s’interdisent de s’immiscer dans le fonctionnement de l’institution judiciaire.
Le Chef du Gouvernement, a rappelé devant les représentants des États-membres, que la nouvelle administration haïtienne, offrait un cadre adéquat et des moyens financiers, qui répondaient aux besoins du système judiciaire. Précisant que pour la nouvelle équipe dirigeante d’Haïti, « le juge est la clef de voute et la condition de réalisation de l’État de Droit, il lui incombe de garantir le respect du Droit, tant par les citoyens que par les organes de l’État » soulignant, que le gouvernement travaillait sans relâche, pour que les juges soient à l’abri des pressions économiques et politiques.
HL/ HaïtiLibre
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