Suite la publication début septembre, d’une note du Ministère des
Affaires Sociale et du Travail, mentionnant, en vertu de la loi,
l’augmentation du salaire minimum à compter du 1 octobre 2012, Georges
Sassine, le Directeur Général de la Société Nationale des Parcs
Industriels (SONAPI) a tenu à préciser le montant du salaire et la
catégories de travailleurs concernés par cette loi, afin de mettre un
terme à certaines fausses interprétation de cette annonce. « [...]
j'attire l'attention de tous, sur le fait que la loi met le salaire
minimum à 200 gourdes, pas à 300 gourdes comme on se plait à le dire. «
Les 300 gourdes concernent seulement les ouvriers qui sont à la pièces
», qui peuvent atteindre 300 gourdes, c'est-à-dire, que le tarif payé
doit leur permettre d'arriver à 300 gourdes. Mais, s'il y a une personne
qui monte par exemple, des cols de chemises et qui fait 300 gourdes, et
que la personne à coté d'elle ne fait pas 300 gourdes, cela veut dire
que le tarif peut être obtenu [...] ce que je veux souligner c'est
surtout le fait, que voilà une loi qui ne vise que 28,000 personnes qui
travaillent dans la sous-traitance, mais le reste du pays il me semble,
n'est pas concerné... »
De son côté, Hervé Denis, le Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Haïti (CCIH) a indiqué « [...] toute augmentation de salaire, qui n’a pas été étudiée méticuleusement, a des incidences sur l'ensemble des opérateurs économiques, parce que la masse salariale dans une entreprise, c'est une charge très importante. Donc, à partir de ce moment là, je crois que les entrepreneurs vont regarder l'incidence sur leur entreprise et s'ajuster. Il y en a, qui feront des mises à pied, d'autres peut-être, fermeront boutique, et certains qui agiront en fonctions des études qu'ils ont faites [...]
Je rappellerais premièrement, qu’il ne s'agit pas d’une mesure de ce gouvernement là, il faut bien faire la différence et la deuxième chose que je dirais d'une manière générale, c'est que cette mesures nous interpelle [...] »
S/ HaïtiLibre
De son côté, Hervé Denis, le Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Haïti (CCIH) a indiqué « [...] toute augmentation de salaire, qui n’a pas été étudiée méticuleusement, a des incidences sur l'ensemble des opérateurs économiques, parce que la masse salariale dans une entreprise, c'est une charge très importante. Donc, à partir de ce moment là, je crois que les entrepreneurs vont regarder l'incidence sur leur entreprise et s'ajuster. Il y en a, qui feront des mises à pied, d'autres peut-être, fermeront boutique, et certains qui agiront en fonctions des études qu'ils ont faites [...]
Je rappellerais premièrement, qu’il ne s'agit pas d’une mesure de ce gouvernement là, il faut bien faire la différence et la deuxième chose que je dirais d'une manière générale, c'est que cette mesures nous interpelle [...] »
S/ HaïtiLibre
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