Rapatriement au Cap de 172 voyageurs clandestins haïtiens
Les garde côtes américains ont rapatrié ce mardi au Cap –haïtien, un groupe de 172 migrants haïtiens qui tentaient de regagner les Bahamas à bord d'une petite embarcation.
Lors d'une patrouille vendredi, l'équipage d'un hélicoptère a repéré un premier bateau à voile haïtien près des Bahamas. L'équipage du Confidence du garde-côte a été détourné et a interdit à l'embarcation haïtienne de naviguer au nord de Punta Maisi, à Cuba.
Les membres de l'équipage du Confidence ont distribué des gilets de sauvetage et embarqué à bord 60 migrants haïtiens. Puis samedi lors d'une patrouille, l'équipage d'un hélicoptère a repéré un second bateau à voile surchargé près des Bahamas. Les équipages des bâtiments, Northland et Vigorous .
Ces voyageurs clandestins haïtiens ont été transférés à bord du Vigorous pour être rapatrié. Une fois à bord du navire du garde-côte, tous les migrants ont reçu de la nourriture, de l'eau et des soins médicaux de base. Les sans papier haïtiens, dont 45 femmes ont été remis à la Protection civile du Cap-Haïtien.
Martelly a rencontré des membres de l'UEH
Lors d'une patrouille vendredi, l'équipage d'un hélicoptère a repéré un premier bateau à voile haïtien près des Bahamas. L'équipage du Confidence du garde-côte a été détourné et a interdit à l'embarcation haïtienne de naviguer au nord de Punta Maisi, à Cuba.
Les membres de l'équipage du Confidence ont distribué des gilets de sauvetage et embarqué à bord 60 migrants haïtiens. Puis samedi lors d'une patrouille, l'équipage d'un hélicoptère a repéré un second bateau à voile surchargé près des Bahamas. Les équipages des bâtiments, Northland et Vigorous .
Ces voyageurs clandestins haïtiens ont été transférés à bord du Vigorous pour être rapatrié. Une fois à bord du navire du garde-côte, tous les migrants ont reçu de la nourriture, de l'eau et des soins médicaux de base. Les sans papier haïtiens, dont 45 femmes ont été remis à la Protection civile du Cap-Haïtien.
Martelly a rencontré des membres de l'UEH
Le Président de la République, Michel Martelly a rencontré ce jeudi, au Palais National, le Conseil de l'Université d'État d'Haïti et un groupe d'étudiants représentant les différentes entités de cette institution.
L'annonce a été faite par la présidence dans un communiqué rendu public ce vendredi 25 novembre.
Selon ce communiqué monsieur Martelly était accompagné du Premier Ministre Garry Conille et de quelques membres du gouvernement et du parlement haïtien. Le Chef de l'État, voulait par cette réunion, entamer le processus d'encadrement et de renforcement de l'Université d'État d'Haïti, l'une de ses promesses de campagne. Au cours de cette longue discussion avec les autorités de l'UEH, divers points ont été débattus, tels que l'état des lieux de la formation à l'UEH, son importance dans le développement du pays, l'intégration des jeunes gradués dans l'administration publique, l'implication directe de l'université dans les grandes décisions en faveur du changement, la capacité d'accueil de l'institution.
« L'Université arrive de moins en moins à jouer son rôle », a indiqué Jean Henry VERNET, Recteur de l'UEH qui, tout en félicitant le Président MARTELLY pour cette noble initiative, croit nécessaire d'établir un cadre formel de coopération avec les institutions de l'État et de mettre en place un groupe de travail tripartite Gouvernement/Parlement/UEH.. Le Président de la République, tout en leur promettant son soutien, invite les responsables de l'institution à se mettre au travail en vue d'établir les nouvelles bases d'une université d'État, avec son propre campus, un curriculum moderne épondant aux exigences de développement, et un professorat qualifié. L'UEH qui comporte en son sein plus de vingt cinq mille (25000) étudiants, dont treize mille (13000) à Port-au-Prince, avait perdu 80% de ses structures lors du terrible cataclysme du 12 janvier 2010.
L'annonce a été faite par la présidence dans un communiqué rendu public ce vendredi 25 novembre.
Selon ce communiqué monsieur Martelly était accompagné du Premier Ministre Garry Conille et de quelques membres du gouvernement et du parlement haïtien. Le Chef de l'État, voulait par cette réunion, entamer le processus d'encadrement et de renforcement de l'Université d'État d'Haïti, l'une de ses promesses de campagne. Au cours de cette longue discussion avec les autorités de l'UEH, divers points ont été débattus, tels que l'état des lieux de la formation à l'UEH, son importance dans le développement du pays, l'intégration des jeunes gradués dans l'administration publique, l'implication directe de l'université dans les grandes décisions en faveur du changement, la capacité d'accueil de l'institution.
« L'Université arrive de moins en moins à jouer son rôle », a indiqué Jean Henry VERNET, Recteur de l'UEH qui, tout en félicitant le Président MARTELLY pour cette noble initiative, croit nécessaire d'établir un cadre formel de coopération avec les institutions de l'État et de mettre en place un groupe de travail tripartite Gouvernement/Parlement/UEH.. Le Président de la République, tout en leur promettant son soutien, invite les responsables de l'institution à se mettre au travail en vue d'établir les nouvelles bases d'une université d'État, avec son propre campus, un curriculum moderne épondant aux exigences de développement, et un professorat qualifié. L'UEH qui comporte en son sein plus de vingt cinq mille (25000) étudiants, dont treize mille (13000) à Port-au-Prince, avait perdu 80% de ses structures lors du terrible cataclysme du 12 janvier 2010.
Remobilisation de l'Armée :Rébu en désaccord avec le président Martelly
L'ancien colonel Himmler Rébu estime que la reconstitution de l'armée telle que proposée par le président Martelly, n'a pas été bien pensée.
Le leader du GREH qui était l'invité ce vendredi, de la rubrique le point sur Métropole, regrette également que le président ne soit pas entouré d'une belle équipe qui définirait les grandes orientations de la politique nationale et qui l'assisterait. Par ailleurs l'ex haut gradé des forces armées d'Haïti, se dit prêt à prêter main forte au gouvernement pour reconstituer l'armée. Il indique qu'il le ferait à titre personnel, pour le bien du pays et qu'il ne revendique ni titre, ni fonction, ni distinction. Rappelons que le président, Michel Martelly, avait annoncé la création d'une commission civile devant travailler sur la création de la nouvelle force publique, lors de son discours prononcé à l'occasion de la célébration du 208e anniversaire de la bataille de Vertières, le vendredi 18 novembre dernier.
Le leader du GREH qui était l'invité ce vendredi, de la rubrique le point sur Métropole, regrette également que le président ne soit pas entouré d'une belle équipe qui définirait les grandes orientations de la politique nationale et qui l'assisterait. Par ailleurs l'ex haut gradé des forces armées d'Haïti, se dit prêt à prêter main forte au gouvernement pour reconstituer l'armée. Il indique qu'il le ferait à titre personnel, pour le bien du pays et qu'il ne revendique ni titre, ni fonction, ni distinction. Rappelons que le président, Michel Martelly, avait annoncé la création d'une commission civile devant travailler sur la création de la nouvelle force publique, lors de son discours prononcé à l'occasion de la célébration du 208e anniversaire de la bataille de Vertières, le vendredi 18 novembre dernier.
Des responsables de partis politiques insatisfaits du traitement de l'affaire Bélizaire par le sénat
Les responsables de l'Organisation du Peuple en Lutte(OPL), de la plateforme LIBERATION, et de l'UCCADE qualifient de démagogique et de partisane la séance du 22 novembre dernier réalisée au sénat dans le cadre de l'affaire Bélizaire.Le coordonateur de l'Organisation du Peuple en Lutte, Sauveur Pierre Etienne, déplore le fait que les sénateurs se sont montrés partiaux dans le traitement du dossier relatif à l'arrestation et l'emprisonnement du député en fonction : Arnel Bélizaire, le 27 octobre dernier.
Par ailleurs, Sauveur Pierre Etienne indique qu'un tel comportement adopté par les élus du grands corps risque de ternir l'image du parlement, qui doit, selon la loi-mère, demeurer une institution indépendante ayant la prérogative de contrôler l'exécutif. Pour sa part, le responsable de la plateforme LIBERATION, Serge Jean-Louis, invite les députés à ne pas suivre l'exemple des sénateurs en ce qui concerne ce dossier. En outre, ce dernier appelle les parlementaires à défendre les intérêts généraux de la nation plutôt que de satisfaire leurs petits intérêts de groupe. Alors que le président de la république Michel Joseph Martelly invite les députés à suivre l'exemple des sénateurs dans le traitement de l'affaire Bélizaire et ce pour la bonne marche du pays.
Alors que les députés prévoient une mise en accusation du chef de l'Etat d'ici le deuxième lundi du mois de janvier.
Les responsables de l'Organisation du Peuple en Lutte(OPL), de la plateforme LIBERATION, et de l'UCCADE qualifient de démagogique et de partisane la séance du 22 novembre dernier réalisée au sénat dans le cadre de l'affaire Bélizaire.Le coordonateur de l'Organisation du Peuple en Lutte, Sauveur Pierre Etienne, déplore le fait que les sénateurs se sont montrés partiaux dans le traitement du dossier relatif à l'arrestation et l'emprisonnement du député en fonction : Arnel Bélizaire, le 27 octobre dernier.
Par ailleurs, Sauveur Pierre Etienne indique qu'un tel comportement adopté par les élus du grands corps risque de ternir l'image du parlement, qui doit, selon la loi-mère, demeurer une institution indépendante ayant la prérogative de contrôler l'exécutif. Pour sa part, le responsable de la plateforme LIBERATION, Serge Jean-Louis, invite les députés à ne pas suivre l'exemple des sénateurs en ce qui concerne ce dossier. En outre, ce dernier appelle les parlementaires à défendre les intérêts généraux de la nation plutôt que de satisfaire leurs petits intérêts de groupe. Alors que le président de la république Michel Joseph Martelly invite les députés à suivre l'exemple des sénateurs dans le traitement de l'affaire Bélizaire et ce pour la bonne marche du pays.
Alors que les députés prévoient une mise en accusation du chef de l'Etat d'ici le deuxième lundi du mois de janvier.
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